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fleche ... 2007/10/03. Compte-rendu de la 1ère rencontre
Articulation des pratiques d’accompagnement et mise en perspectives des spécificités ESS
mis en ligne le 13 décembre 2007.
 

 

Participants :
Christelle Bottary, Florent Houdmond / Intermade
Amanda Morbelli, Bruno Lasnier / Apeas
Sandrine Delrieu Eglantine Simonet / LaPlateforme
Hélène Laude Essor13
Philippe Oswald / Place.


Articulation des pratiques d’accompagnement et mise en perspectives des spécificités ESS

Expérimentation COPECS - Bouches du Rhône

Synthèse de la première rencontre du 03 octobre 2007

I - Introduction et présentation des objectifs du groupe

Ce groupe du travail s’inscrit dans le cadre des expérimentations initiées au sein de l’atelier « accompagnement et finance » du COPECS visant à mettre en œuvre les orientations du PROGRESS par une qualification des pratiques d’accompagnement et une optimisation des articulations entre dispositifs existants sur des territoires identifiés.

A ce titre, le groupe prend appui sur le document d’orientation produit par l’atelier « accompagnement et finance » et validé par la concertation publique du 9 juillet 2007. Ce document propose d’appréhender les trajectoires des porteurs de projets par une approche en terme de filière : Les démarches projets traversent des étapes et des temporalités différentes qui n’appellent pas les mêmes attentes ni les mêmes compétences. Cela se manifeste, au sein de la filière, par la mise en œuvre de fonctions ou d’espaces de travail différenciés.

L’atelier permanent a mis en évidence la nécessité de travailler les liens entre ces fonctions afin d’en optimiser les articulations. Cette perspective permet d’identifier, à l’échelle de la filière, les contradictions relatives aux cloisonnements des différentes fonctions. Il a également pointé l’importance d’une mise à jour de la manière dont les spécificités d’une économie sociale et solidaire sont abordées et travaillés par chacun des acteurs de la filière. Cela suppose d’aborder réciproquement les contenus métiers et de les mettre en discussion afin de les faire évoluer, de les affiner, ou de clarifier leur formulation.

La démarche s’inscrit également dans les orientations du dernier atelier COPECS (02/10) visant à croiser différentes expérimentations initiées sur plusieurs territoires (83, 04/06, 06). Une trame d’observation commune, déclinée en cinq points y a été validée : l’échelle territoriale appréhendée ; les partenariats impliqués ; la manière dont les spécificités sont abordées dans les contenus métiers ; l’articulation des fonctions et dispositifs ; les questionnements, difficultés ou manques relevés et les propositions permettant de les travailler.

Le groupe se présente donc comme un espace de réflexion / action pouvant produire des incidences sur les pratiques, déboucher sur des actions communes, favoriser des mutualisations tout en approfondissant le questionnement de fond relatif au positionnement d’une économie sociale et solidaire dans le contexte actuel.

II - Questionnements issus du premier atelier

Plusieurs questionnements émergent de ce premier atelier :

1. Information / orientation : Représentation des offres / articulation des dispositifs :

a) La spécificité du positionnement EAS ou ESS émerge pour la première fois dans le discours au moment de l’accueil. Cette dimension est donc centrale. A ce jour, elle est souvent appréhendée par les référents sur la base d’un discours élaboré à partir de leur propre appréciation, intuition, ou approche « militante » de ce que représente l’ESS. Cette dimension étant particulièrement difficile à formaliser, un premier exposé rapide des énoncés des différents acteurs présents fait apparaître des éléments de complémentarités mais aussi de différences. Quels sont les principaux éléments mis en avant ? Comment le sont-ils ? Comment promouvoir le développement d’une l’EAS ou d’une ESS dans une démarche ouverte qui affirme ses forces tout en laissant la liberté du choix ? La dimension collective constitue par ailleurs un fil conducteur dans la mesure ou elle est abordée et travaillée par l’ensemble des approches. Comment est-elle initiée, introduite, travaillée tout au long de la filière ?

Ce premier constat fait apparaître l’importance d’approfondir collectivement la manière suivant laquelle les personnes sont accueillies. Comment intégrer dans le discours de l’accueil des éléments relatifs à des aspects qui seront travaillés ensuite tout au long de la filière et non seulement au moment de la phase d’accueil ?

b) Chacun des acteurs investit un temps et une énergie considérable dans la phase de communication et de recrutement. Cette disposition se traduit par la nécessité d’être présents à des évènements publics, salons, forums ou les acteurs se retrouvent parfois à plusieurs. Une mutualisation de la fonction de représentation pourrait permettre de représenter l’ensemble de la filière et de gagner un temps considérable. Cette représentation commune par des acteurs qui se connaissent au regard de leur interaction professionnelle pourrait être reliée et complétée par une orientation plus généraliste renvoyant à l’annuaire professionnel développé par la CRESS. Il semble nécessaire en effet d’articuler une orientation de réseau qualifiée par l’interconnaissance des acteurs avec une orientation plus générale et plus exhaustive permettant de ne pas enfermer les publics dans des habitudes relationnelles.

Ce deuxième constat fait émerger la nécessité d’imaginer des formes de mutualisation possibles sur cette fonction de représentation. Certaines pistes sont d’ores et déjà expérimentées via Laplateforme (salon de l’Arpe, rencontres organisées par l’AFIJ) mais il est nécessaire d’aller plus loin dans cette perspective. Le groupe de travail décide de se pencher sur cette question en commençant par mutualiser les plaquettes de présentation des acteurs présents dans la perspective d’une élaboration commune d’un document de présentation.

c) Chaque espace cherche à optimiser la qualité des participations par une recherche de candidatures supérieure à la capacité d’accueil. Le principe d’une sélection est structurant dans la qualification des relations d’accompagnement. Certaines motivations ne sont pas suffisamment claires ou ancrées pour engager une relation d’accompagnement fertile. Cette réalité se traduit néanmoins par la nécessité d’une réorientation des publics non retenus. Comment sont-ils réorientés ? Vers quels offres ou quels dispositifs ? Cet aspect apparaît comme un élément central à prendre en compte pour réussir à réduire les trajectoires d’errance entre les différents dispositifs. Cette dimension se situe précisément à l’intersection entre les offres, et à ce jour elle n’est que très peu sinon pas du tout travaillée.

Ce troisième constat renvoie d’une manière plus générale à la relation avec les institutions généralement évaluée essentiellement par des « taux de réussite » appréhendée sous l’angle de la création effective. L’accompagnement à l’arrêt au repositionnement ou à la ré-orientation n’est pas apprécié et évalué à sa juste valeur et cela tend à renforcer l’errance de publics qui circulent d’un dispositif à un autre. Comment appréhender cette dimension qui se situe dans l’interaction entre les dispositifs ?


2. Des modes d’accompagnement conditionnés par des financements indexés aux situations « sociales » des personnes

L’une des difficultés récurrentes aux dispositifs d’accompagnement repose sur le fait que de nombreux porteurs de projets arrivent là « poussés » par des motivations « en creux ». La création d’entreprise est de plus en plus appréhendée, par les personnes comme par de nombreux dispositifs, comme une, sinon la seule, alternative à l’emploi. Cela se traduit, dans le champ de l’ESS par des personnes qui créent leur propre emploi en prenant appui sur l’ouverture du statut associatif et l’existence de dispositifs d’aides réduisant considérablement le coût et les risques relatifs au déclenchement de postes au moins durant la première ou les deux premières années.
Le projet associatif est alors faible, voire inexistant, mobilisé avant tout comme prétexte pour résoudre ponctuellement une situation de précarité individuelle. Cette disposition est accentuée par les modes de financement indexés au statut social (chômeurs, chômeurs longs durés, bénéficiaires du RMI) des personnes et articulés à des objectifs de résultat. De nombreuses créations, poussés par des impératifs de résultat en terme de création d’emplois, ne reposent pas sur un socle durable et rémergent dans la filière avec des besoins ou des attentes complètement disproportionnés avec la réalité économique souvent fragile sinon inexistante de projets en question. La filière est donc globalement « parasitée » par un phénomène lié au contexte global, sans que personne n’ait de réponse adaptée à cette problématique.

L’expérimentation initiée dans le cadre de la mesure 10B avait permis de qualifier le contenu des projets ainsi que les modalités de financements des accompagnements en par le biais d’une rémunération du travail de préfiguration indexé non pas au statut des personnes mais à la qualité du projet et de ses perspectives de retombées « sociétales ». Cette expérimentation relève néanmoins d’appels d’offres européens qui ne sont à la portée d’aucun des acteurs en présence au regard de leurs capacités financières respectives. Par ailleurs, une gestion trop centralisée de ce type de dispositif ne produit pas les effets escomptés (retombées positives pour l’ensemble des acteurs de la filière) Il aurait donc un enjeu fort à essayer de mutualiser des forces, des compétences ou des moyens pour envisager le portage d’un projet européen dans une dynamique partenariale. Cette ambition confirme la nécessité d’évoluer vers une qualification et un renforcement des relations interprofessionnelles.

Parallèlement à ça, d’autres modalités d’accompagnement telles que celles qui sont travaillées par le réseau VCM (Voisins et citoyens en méditerranéen) pourraient être développées, y compris en lien avec les réseaux des travailleurs sociaux (formation et accompagnement à la promotion d’initiatives collectives de solidarités)

Cette problématique est centrale. Elle ré émerge systématiquement des pratiques et était déjà fortement présente dans le cadre du séminaire permanent. Comment orienter les personnes dont le projet est avant tout un prétexte ? Comment et avec qui travailler leur situation face à l’absence totale des réponses actuelles ? La création d’activités économiques n’est pas une solution adaptée à tous. Pour autant, nombreux sont ceux qui s’orientent au sont orientées là par défaut. Comment éviter de continuer à avancer à l’aveugle ?


3. Partenariats de développement

La plupart des acteurs présents sont limités dans leur développement au regard de l’adéquation entre leur potentiel et les moyens qu’ils peuvent escompter déployer. Chaque dispositif est coûteux en terme de frais fixes, et chaque perspective de développement se traduit par de nouveaux besoins financiers conséquents notamment en terme de personnel. Comment développer ou déployer les offres existantes sur de nouveaux territoires sans pour autant démultiplier les dispositifs ? Comment réussir à « grandir » sans forcément « grossir » ? Quels types de partenariats réciproques favoriser pour favoriser une optimisation des points forts de chacun et gagner en efficience ?

Cette réflexion est prégnante pour plusieurs des acteurs présents qui sont à la recherche d’un développement susceptible d’ « alléger » leur situation actuelle plutôt que de l’alourdir par de nouveaux frais fixes conséquents. Un développement mal calibré renforce d’autant le cercle infernal de la « course au projet » destinés à subvenir prioritairement aux besoins de la structure et délaissant de fait la qualité du projet. Cette perspective pourra donc être abordée en continu dans le cadre de l’atelier.

III - Synthèse, perspectives et élargissement du groupe.

Ce premier atelier valide l’intérêt et la nécessité de poursuivre cette dynamique. Il croise et superpose différents niveaux d’enjeux imbriqués les uns dans les autres : action de mutualisation à court et moyen terme et réflexions communes à moyen et long terme.

Une prochaine rencontre de travail est fixée au 25 octobre. Une priorité est donnée à la question de la représentation commune au regard de l’importance de cette question pour plusieurs participants. Chaque participant est invité à alimenter le groupe de productions qui pourront faire l’objet d’une appréciation collective.

Des perspectives à plus long terme se dessinent : proposition de nouveaux contenus d’ateliers (marketing solidaire / Lieux d’accent), (outils de simulation dynamiques / Place) à soumettre à l’appréciation du groupe ; des perspectives de développement pourraient être envisagées en partenariat.

Deux acteurs ont d’ores et déjà émis leur souhait de rejoindre le groupe (Energie Alternative, Mesclun). Plusieurs participants énoncent par ailleurs l’intérêt de pouvoir y associer ESIA.
Il est également envisagé d’y associer l’ARDL à un moemnt ou à un autre pour amorcer des partenariats fertiles avec des instances de développement territorial.

IV - Synthèse de la présentation des participants et des espaces de travail mis en œuvre.

APEAS : Accueil et mise en réseau / émergence (PILES) / animation territoriale

La présentation faite par Bruno positionne l’APEAS dans une fonction d’animation du territoire se déclinant consécutivement par une posture généraliste, avec la mise en œuvre d’un espace d’émergence de projets, et par une posture thématique via l’animation d’une structuration de filières (pôle commerce équitable, pôle médias alternatifs). La dynamisation des liens avec le territoire est abordée au sein d’un groupe d’appui animé une fois par an et mettant en relation des porteurs de projets et des acteurs du territoires. Elle est également appréhendée par une dimension d’accueil et de mise en réseau qui renvoie aux rencontres, soirées thématiques, ou supports de lien (dynamo) développées par l’Apeas.

L’espace d’émergence (PILES) présenté par Amanda prend appui sur des cycles de 9 journées étalées sur un mois. Il a pour vocation à travailler sur les motivations en explorant les idées ou les initiatives de participants, à appréhender la question des compétences, et à introduire une dimension collective dans la mise en œuvre des dynamiques (comment partager son idée). Il débouche sur un bilan écrit et une présentation orale.

Supports apportés à contribution du groupe : Grille test d’autoévaluation de la dimension ESS ; Programme d’un cycle du PILES ; Plaquette de présentation du PILES ; Présentation du réseau des PILES

Intermade : Accompagnement aux projets (Starter) ; portage et structuration en couveuse

Florent expose le contenu complet d’une session starter qui se décline en une dizaine de demi-journées de formation étalées sur trois mois et articulées à un suivi individuel tous les quinze jours. L’objectif de starter est d’accompagner les porteurs de projet dans une étude de faisabilité qui leur permette de poser des repères et de mieux se situer dans leurs décisions d’orientation. Starter accompagne le passage de « moi et mon projet » vers « mon projet dans son environnement » en y introduisant une dimension collective (élaboration de partenariats, dynamique associative) et politique (nature des enjeux collectifs appréhendés). L’accompagnement travaille sur toutes les composantes du projet : formulation, concurrence / partenariat, positionnement commercial, traduction économique, planification, communication, écriture de projet et de dossier, présentation orale. Une sélection a lieu sur une base de 10 places disponibles pour quinze à vingt projets présentés.

L’entrée en couveuse est soumise à une commission d’admission composée d’acteurs du territoire et de partenaires professionnels qui évaluent la pertinence du positionnement du projet et de son inscription dans une couveuse ESS à partir d’une grille d’appréciation partagée. L’inscription en couveuse est conditionnée à une forte implication au sein de la dynamique collective animée à Intermade (participation aux instances d’Intermade, réunions collectives, actions communes, etc...)
Intermade développe également depuis deux ans une action d’accompagnement dans les 13eme et 14eme arrondissements de Marseille, animé par Pierre Levy, dans un positionnement relevant de l’émergence.

Les supports et référentiels relatifs à la mise en œuvre du starter n’ont pas encore été formalisés faute de temps. Cet axe est néanmoins posé comme prioritaire au sein de la structure.

Place : Structuration et positionnement ESS (Dynamiques de gouvernance)

Philippe présente le contenu de l’atelier « Dynamiques de gouvernance » adressé à des projets en activité ou déjà avancés dans la formalisation de leur projet. L’atelier se déroule en trois journées pleines espacées d’une semaine. Il aborde la contradiction inhérente aux projets d’ESS entre la nécessité d’une rentabilité économique et la défense d’un positionnement de nature « politique ». L’atelier prends appui sur la traduction économique et les obstacles ou impasses qu’elle révèle pour réinterroger la dimension « politique » porteuse de redéploiement, d’évolution des conditions de portage, de développement, ou de repositionnement du projet. Il s’agit d’investir la question du sens comme vecteur même de qualification et de consolidation du positionnement du projet et non comme une esthétique relevant trop souvent d’un affichage de valeurs difficile à tenir et à faire vivre dans le temps. L’atelier vise à identifier les points de blocages ou de tensions révélés par la traduction économique, à les mettre en perspective d’un requestionnement politique interne et externe et à identifier les espaces de « gouvernance » à mettre en œuvre à différents niveaux pour optimiser le redéploiement du projet.
Il s’agit de travailler l’articulation entre le positionnement commercial et la mise en œuvre d’une démocratie économique : Comment et avec qui partager les enjeux du projet ? Comment et à qui rendre compte de son évolution et de ses effets ? Comment et avec qui clarifier les orientations et optimiser la mise en œuvre ? L’atelier est configuré pour recevoir une dizaine de porteurs de projets. Il est structuré par une évaluation du projet en amont et en aval afin de repérer les dimensions ayant pu être clarifiées. Cette dimension est articulée à une fonction de conseil et d’étude déployée par ailleurs au sein de Place.

Documents support : Plaquette de présentation ; Référentiel support pour chacune des journées ; grilles d’évaluation amont et aval.


LaPlateforme : Croisements de pratiques, co-production, reflexion/action et capitalisation de contenus

Représentée par Eglantine Simonet, Sandrine Delrieu et plusieurs des membres présents participants à cette dynamique, LaPlateforme est une initiative récente regroupant des entrepreneurs, des accompagnateurs et des rédacteurs.
La plateforme est née d’une volonté partagée d’affirmer et de réinventer des modalités professionnelles en adéquation avec les aspirations des personnes : Réinvestir le sentiment de choisir pour rompre avec le sentiment de « subir ».

Plus concrètement, l’un des axes forts de LaPlateforme consiste à mettre plusieurs acteurs autour d’une table pour partager un (ou des) questionnement qui les concerne en relation avec leurs pratiques. Ces questionnements touchent à des enjeux qui débordent du cadre même des pratiques et qui peuvent intéresser le grand public. Le fait d’aborder ces enjeux en les croisant avec l’ancrage des pratiques permet de rendre des opérationnalisations visibles et/ou de générer des situations de coproductions, elle-même valorisables sur le site de LaPlateforme. Le fait même de faire travailler une question pertinente au sein d’un collectif contribue par ailleurs à faire évoluer voire à transformer les pratiques. Il y a donc plusieurs enjeux croisés : Produire une connaissance qui contribue à visibiliser et à faire connaître les approches spécifiques proposées par les pratiques en présence. Faire évoluer les pratiques à partir de la qualité d’un questionnement ou d’une problématique abordée de manière collective. Produire des contenus, des éléments de méthode ou des expérimentations partageables et mutualisables. LaPlateforme travaille donc en interaction avec les acteurs et dispositifs existants comme avec les entrepreneurs intéressés par le prolongement d’une dynamique collective au-delà des espaces de formation.

A titre d’exemple, LaPlateforme est porteuse du présent atelier qui pourra être support d’une visibilisation partagé. Elle communique déjà, vis son site internet sur les contenus et approches diffusés par la plupart des partenaires présents

Supports existants : le site internet www.laplateforme.org ; pas encore de documents de présentation existants compte tenu de la jeunesse de l’initiative et des ressources afférentes.


ESSOR 13 : Par manque de temps, la première présentation sera faite par Hélène à l’occasion de la prochaine rencontre

Synthèse rédigée par Philippe Oswald, le 14/10/2007



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